Aujourd’hui, 1er mai. Fête du travail, cueillette du muguet.

Chère moi, depuis quelques mois je te sens perdue comme si tu avais la tête ailleurs. Tes regards ne veulent rien dire, je les sens vide et froid. Aurais-tu perdu espoir ? Toi qui disais sans cesse que tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. Tes sourires me paraissent aussi faux les uns que les autres. Pleures-tu souvent ? Le travail t’a échappé ? L’amour est plus compliqué que tu ne le pensais ? Est-il encore là pour toi ? Tu es seule.. Ton silence me fait peur, j’aurais préféré des cris pour mieux comprendre. S’il te plait, répond-moi vite. J’attends impatiemment de tes nouvelles. Ciao.