Viva liberta !
Non, je ne l’aime plus. Pendant une période, j’aurais fait n’importe quoi pour lui. J’aurai fini sous les roues d’une voiture si ça avait pu l’aider, le sauver ou juste lui plaire. Aujourd’hui, je suis guérie, je le regarde avec de la distance, je suis plus raisonnable, je pense que j’ai grandi ou que j’ai compris. Mais il reste toujours une empreinte, une cicatrice, de ce que j’ai ressenti. Une cicatrice qui ne partira pas, qui me rappellera toujours qu’il n’est pas n’importe qui.
VIVE LA LIBERTE !